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Le Blog des animaux bien élevés
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    janvier 11th, 2011GabrielleChevaux Poneys Anes, Produits

    Pieds de chevaux

    L’huile de cade est un produit d’origine végétale. Elle est en effet obtenue à partir du bois de génévrier oxycèdre (juniperus oxycedrus) qui pousse naturellement dans la garrigue méditerrannéenne.
    En pharmacie vétérinaire, l’huile de cade est principalement employée pour lutter contre la gale, mais aussi en complément de traitements fongicides et antiseptiques, ou plus simplement comme répulsif du fait de sa forte odeur.

    Pure ou diluée, l’huile de cade est un produit précieux pour tout cavalier ou propriétaire de chevaux, de poneys ou d’ânes :
    – employée pure pour les soins des fourchettes ou des soles abîmées, ou en mélange dans le onguents de pieds,
    – diluée, elle exerce une action répulsive à l’encontre des mouches et insectes,
    – sa forte odeur dissuade également les chevaux de ronger le bois de leurs boxes ou clôtures par imprégnation de celui-ci.
    L’huile de cade trouve également des applications  dans d’autres domaines vétérinaires (volailles, moutons…) ou humains, mais aussi en arboriculture.

    Pour plus d’informations sur l’utilisation de ce produit, ou pour en acheter, cliquer sur le lien ci-dessous :

    HUILE DE CADE PURE


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    décembre 3rd, 2010GabrielleGénéralités

    POURQUOI ACHETER DES PRODUITS VETERINAIRES ?

    Parce que les produits vétérinaires, contrairement aux produits à usage humain, sont spécialement formulés pour une ou plusieurs espèces animales et donc parfaitement adaptés.

    QUELLES SONT LES PARTICULARITES DES PRODUITS VETERINAIRES  ?

    Les produits vétérinaires ont été étudiés pour répondre à des critères spécifiques, notamment :
    – prise en compte des spécificités de l’espèce de destination (efficacité, tolérance, absence de toxicité, unités de prise…) : on ne traite pas un oiseau de 50 grammes comme un cheval de 600 kg !
    – appétence : la prise orale du produit doit être facile afin que le produit soit effectivement absorbé par l’animal et que son propriétaire soit capable de le lui administrer : ceci est particulièrement  vrai chez le chat, animal très difficile.
    – prise en compte des délais d’attente pour la consommation des oeufs, du lait et de la viande : ceci ne concerne bien sûr pas les animaux de compagnie, mais ce point est particulièrement important pour les animaux de rente, même les quelques poules et lapins des petits élevages familiaux.

    QUELLE DIFFERENCE ENTRE PRODUITS VETERINAIRES ET MEDICAMENTS ?

    Les médicaments vétérinaires sont prescrits par le vétérinaire et délivrés par le pharmacien, ils sont sous leur monopole ainsi que cela est défini dans le code de la santé publique.
    Les produits vétérinaires, sont des produits, autres que des médicaments, et destinés spécifiquement aux animaux.
    Il peut s’agir de produits d’hygiène (shampooing, lotions…), de soins, d’antiparasitaires externes et de compléments alimentaires : vitamines, minéraux, autres micronutriments.

    CONCLUSION

    Lorsqu’il faut administrer un produit à un animal, il faut toujours s’assurer que ce produit soit effectivement destiné à cet animal, et qu’il soit indiqué à la situation.
    Pour cela, utiliser toujours des produits français que vous saurez comprendre, et qui vous sont vendus par un spécialiste.

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    novembre 25th, 2010GabrielleActualités

    Un éleveur français de canards a été interpellé pour une bien curieuse pratique : il « vermifugeait » ses animaux avec du cannabis.

    « Y’a pas meilleur vermifuge pour eux, un spécialiste me l’a conseillé ! » se défend-il.
    Et son avocat de surenchérir  : « C’est sérieux, pas un seul n’a des vers et tous sont en excellente santé ! »

    L’éleveur qui se « purgeait » occasionnellement avec ce même prétendu remède, a été condamné jeudi 18 novembre 2010 par le tribunal correctionnel de Rochefort à un mois de prison avec sursis et 500 euros d’amende.

    Serait-ce sous l’influence de sa propre consommation que cet éleveur s’est improvisé vétérinaire ?
    Que devient le cheptel de canards « vermifugés » ?

    Quoi qu’il en soit, la consommation de foie gras lors des fêtes de fin d’année pourrait bien entraîner des effets secondaires inattendus !

    Source : Information du 20/10/2010 parue sur Libération.fr

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    novembre 19th, 2010GabrielleAviculture

    Lapins chèvre bleus

    L’état du pelage des lapins est conditionné par le cycle pilaire qui s’étend du début de la croissance du poil jusqu’à sa chute : la mue.

    La mue est donc un phénomène normal et qui intervient deux fois dans l’année (au printemps et à l’automne) pendant des périodes plus ou moins longues.
    La mue d’automne étant moins importante que la mue de printemps car le sous-poil y est partiellement conservé pour affronter les températures hivernales.
    Le phénomène de la mue est influencé par plusieurs facteurs, parmi lesquels : la race de l’animal, son sexe, son âge, son environnement, son alimentation, sa tranquillité (stress), son stade physiologique et son état de santé.

    Comme chez tous les animaux, le pelage est un bon indicateur de l’état de santé principalement conditionné par le régime alimentaire.

    Aussi faut-il veiller à fournir à l’animal les éléments exigés par son organisme lors de la mue.
    Celui-ci a en effet des besoins accrus, en nutriments spécifiques à l’élaboration de la kératine, protéine essentielle du pelage.
    L’animal doit donc avoir à sa disposition une alimentation enrichie, notamment en :
    – protéines, pour un apport en acides aminés soufrés : méthionine et cystéine,
    – vitamines : groupe B, A, E
    – oligo-éléments : fer, zinc
    – acides gras.

    Ces besoins peuvent être satisfaits :
    – par un apport traditionnel de fourrage, tourteaux, farines, céréales, légumes, fruits, graines,
    – par adjonction de compléments plus spécifiques : levure de bière, huile de foie de morue
    – ou par apport d’un complexe polyvitamné enrichi en acides aminés, tel que le VITAVIL AMINE.

    La qualité du pelage n’est donc pas le fruit du hasard, et il est facile d’aider l’animal à affronter cette période critique pour lui que constitue la mue, en mettant à sa disposition les éléments nécessaires.

    Source : Le cycle pilaire et la mue  de Jean-Jacques MENIGOZ, Président de la Fédération Française de Cuniculiculture ( FFC)
    Photo : Lapins de race Chèvre bleu

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    octobre 15th, 2010GabrielleAviculture

    Poules en liberté

    Le picage chez les volailles, notamment les poules, est un phénomène qui peut conduire au cannibalisme, et à la mort de certains animaux.
    Plusieurs composantes sont à considérer dans ce phénomène complexe, et selon leur prépondérance, les solutions à mettre en place pour enrayer le picage sont différentes, ou complémentaires.
    Le picage est principalement lié aux conditions d’élevage, à des carences alimentaires ou au phénomène de ponte.

    Parmi les conditions d’élevage, les principales causes de stress conduisant au picage, sont :
    – le surpeuplement dû au manque d’espace,
    – la chaleur excessive,
    – une lumière trop forte,
    – une aération insuffisante,
    – un taux d’humidité trop important,
    – une difficulté d’accès à la nourriture et à la boisson, ou simplement une insuffisance,
    – un « mélange » de races, de lignées ou d’individus d’âges différents.

    D’autre part, l’équilibre alimentaire des volailles nécessite un apport de protéines, qu’elles ne trouvent pas toujours lorsqu’elles sont nourries au grain et privées d’un accès extérieur. En effet, l’accès à un parcours herbeux leur permet de se procurer les protéines végétales et animales indispensables grâce aux vers et insectes qu’elles chassent et aux végétaux qu’elles consomment.

    Concernant les poules pondeuses, il faut également tenir compte du phénomène attractif de la couleur rouge.
    En effet, au moment où l’oeuf est expulsé, une petite partie de l’oviducte est visible pendant un court moment (un cas extrême pouvant conduire à un prolapsus). Cette partie, très rouge, attire certaines congénères qui se mettent à donner des coups de bec, provoquant ainsi des écoulements de sang. L’attrait du sang est tel que la pondeuse devient rapidement victime de cannibalisme par ses congénères.
    Pour limiter ce risque, il est conseillé de placer les pondoirs dans une zone obscure du poulailler, et d’en installer une nombre suffisant.

    Il existe quelques produits spécifiques qui permettent de limiter le picage.
    – PICAGIX : complément alimentaire à base d’acides aminés, spécifiquement formulé pour palier aux carences protéiques qui conduisent les volailles au picage.
    UKADEX : répulsif destiné à repousser les attaques du fait de son odeur très puissante
    ALUFILM : pour camoufler et isoler les plaies dues au picage.

    Il y a donc deux types d’action à mettre en oeuvre :
    – soigner les victimes,
    – supprimer les causes de picage chez les poules agressives.

    Pour limiter les conséquences du picage au niveau des victimes, il est conseillé de traiter les plaies, à l’aide d’un produit vétérinaire adapté, tel PICRI-BAUME, et de permettre leur cicatrisation.
    Pour cela, il est nécessaire d’isoler la volaille victime. Si cela n’est pas possible, il faut impérativement camoufler les plaies à l’aide d’un spray d’aluminium micronisé (ALUFILM) ; cela favorise la cicatrisation des plaies et limite leur attractivité due à la couleur rouge.

    D’autre part, parmi les améliorations à mettre en oeuvre , outre les conditions propres à l’élevage (locaux, accès extérieur, surpeuplement…), il est possible de corriger une carence alimentaire par apport de compléments :
    PICAGIX : un complément purement protéique et spécifique au picage
    VITAVIL AMINE : un complexe vitaminique complet supplémenté en acides aminés pour équilibrer les apport (peut être utilisé après une cure de PICAGIX)
    – apport de sel de cuisine durant quelques jours (dans l’eau de boisson ou dans une préparation)

    Pour occuper les volailles, la mise à disposition d’objets à picorer (blocs minéraux, épis de maïs, choux…) permet de dissiper l’agressivité chez certains sujets.

     

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    septembre 25th, 2010GabrielleGénéralités

    Le printemps et l’automne, sont des saisons chaudes et humides pendant lesquelles l’activité des tiques est la plus élevée.
    Il est connu que ces parasites véhiculent des maladies dangereuses pour les animaux et pour l’homme, contre lesquelles la prévention est la meilleure protection.
    Mais il arrive que quelques tiques y échappent, et il est donc primordial d’inspecter nos animaux au quotidien, surtout en retour de promenade.

    Il est donc fréquent de retrouver des tiques installées, plus ou moins grosses selon leur stade de maturité (larve, nymphe ou adulte) et selon la quantité de sang qu’elles ont ingéré.

    Avant tout, voici ce qu’il NE FAUT JAMAIS FAIRE :
    – Ne pas mettre d’éther ou tout autre produit sur la tique avant le retrait, car il y a un risque de réaction par régurgitaion de salive, et donc un risque de transmission de germes pathogènes.
    – Ne pas saisir la tique à l’aide d’une pince à épiler, car celle-ci peut couper et la tête resterait alors dans la peau de l’animal, entraînant ainsi un risque d’infection locale, de type abcès.
    – Ne jamais rejeter une tique vivante après  le retrait de celle-ci.

    Enlever une tique à un animal, n’est pas toujours facile, en fonction de sa localisation, mais aussi en fonction de la réaction de l’animal parasité.
    De façon générale, le meilleur moyen est d’employer une pince à tique, type CROCHET O’TOM,  que l’on glisse sous la tique contre la peau de l’animal, puis après avoir effectué plusieurs rotations, sans tirer, la tique se détache d’elle même. Comme celle-ci est vivante, il est conseillé de la placer dans un scotch replié sur lui-même avant de la jeter dans la poubelle.
    Il existe un autre petit instrument, très pratique et qui permet de tuer la tique grâce à un système piezo électrique : la PINCE DYNAVET.

    Si l’infestation est massive, l’emploi d’un spray, type FRONTLINE,  est fortement conseillée. Dans ce cas, il est important de se protéger les mains à l’aide de gants à usage unique.

    L’emploi de produits naturel trouve également toute sa place dans cette lutte, et permet à l’utilisateur de manipuler des produits moins toxique pour lui-même, son animal et l’environnement. Les antiparasitaires naturels se présentent sous différentes formes : colliers, pipettes, shampooing et spray.

    De façon générale, après le retrait de la tique, pensez toujours à :
    – désinfecter le point de morsure, à l’aide d’un produit à usage vétérinaire, type ANTISEPT pour chiens et chats, ou DERMOFAST pour toutes espèces.
    – vous laver les mains après tout traitement antiparasitaire.

    Même si vous retrouvez quelques tiques sur votre animal, poursuivez le traitement préventif, car c’est la meilleure façon de protéger votre compagnon.
    Pour cela, un grand choix s’offre à vous, aussi bien pour les chiens que pour les chats.

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    septembre 22nd, 2010GabrielleActualités

    Les « Rencontres Animal et Société » animées par le Ministère de l’Agriculture et de la Pêche en 2008, ont permis de dénombrer 60 millions d’animaux de compagnie en France, dont plus de 8 millions de chiens et 10 millions de chats. Près de 2 foyers sur 3 possèdent un animal de compagnie.

    Des chiffres impressionnants qui placent le chat en première position auprès de l’homme.
    Une situation qui semble se confirmer en faveur du chat, puisque le nombre de chiens est en légère diminution.
    Mais bien sûr, les 60 millions cités précédemment tiennent également compte des petits mammifères (lapins, cobayes,etc), des oiseaux, des poissons, mais aussi des NAC (nouveaux animaux de compagnie : reptiles, invertébrés…)

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    septembre 10th, 2010GabrielleChiens et chats

    chien beauceron

    L’entretien du pelage et de la peau des chiens est important à bien des titres.

    En effet, l’aspect du pelage est un indicateur de bonne santé, car un chien exprime souvent ses problèmes par des manifestations dermatologiques.
    D’autre part, il est bien plus agréable dans le cadre de la relation du maître et de son chien que ce dernier soit beau, en bonne santé et sente bon !

    Quelques mots donc sur cet organe, la peau, qui est le plus grand organe du corps du chien.
    La peau a essentiellement un rôle de protection, elle est constituée de plusieurs couches, la plus externe étant l’épiderme.
    Elle 4 n’est pas inerte, et son renouvellement est permanent.
    L’épiderme du chien est plus fin et plus fragile que celui de l’homme. Mais ceci n’est pas la seule T?umaczenie différence entre les deux espèces : le pH (degré d’acidité) du chien est plus élevé que celui de l’homme. Ceci signifie que la peau de l’homme est plutôt acide, et celle du chien plutôt neutre.
    On comprend alors aisément qu’il ne faut surtout jamais utiliser de shampooing à usage humain (ils sont acides) pour laver un chien, et même pas des produits destinés aux bébés !
    Cela entraînerait des démangeaisons ainsi que l’apparition de pellicules.

    Il existe bien des gammes de produits spécifiques aux chiens.
    Et pour les choisir, voici quelques conseils.

    • Achetez  toujours votre produit auprès d’un spécialiste pour animaux, wholesale jerseys et assurez-vous de son pH : il doit être aux environ de  7, c’est à dire pH neutre.
    • N’utilisez pas de shampooing sec. Non cheap mlb jerseys seulement ce type de produit ne nettoie pas le pelage (il le désodorise tout au plus), mais en plus il laisse un résidu. Si vous ne souhaitez pas mouiller votre chien privilégiez plutôt l’emploi d’un soin nettoyant sous forme de mousse.
    • Si votre chien n’a pas de problème de peau, vous avez l’embarras du choix des shampooings en fonction du type de pelage de votre cheap jerseys chien : poils longs ou courts, pelage blanc, noir ou abricot, usage fréquent, parfum…
    • Par contre si votre chien présente des problèmes particuliers (poils gras, mauvaise odeur, pellicules, chute des poils ou maladie dermatologique) vous trouverez des gammes spécifiquement adaptées. Elles sont souvent plus chères qu’un shampooing classique, mais renoncez à faire une économie dans ce domaine, ce serait un mauvais calcul !

    Lorsque vous lavez votre chien, pensez à lui mettre un peu de coton dans les oreilles afin que l’eau n’y pénètre pas, et surtout ne négligez pas le temps de rinçage. Celui-ci doit être suffisamment abondant pour éliminer toute trace de produit. Il est également Belonging très important de procéder au séchage avec une épaisse serviette (éventuellement un sèche-cheveu en faisant très attention à la température) afin d’éviter la macération wholesale jerseys humide source d’infections.

    Si les soins externes ont une importance évidente à l’entretien du pelage, il faut aussi prendre en considération l’alimentation ainsi que les compléments afin d’apporter les nutriments nécessaires à l’équilibre dermatologique. Ce point mérite le développement d’un autre article, prochainement.

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